Le prisme noir - le porteur de lumière de Brent Weeks

13 février 2012

Le prisme noir - le porteur de lumière de Brent Weeks

Gavin est le Prisme, l’homme le plus puissant du monde. Il st à la fois grand prêtre et empereur ; seule son énergie, son intelligence et son charisme parviennent à préserver une paix bien fragile. Mais les Prismes ne vivent jamais vieux, et Gavin sait exactement combien de temps il lui reste : cinq ans, pour cinq missions impossibles. Lorsque Gavin découvre qu’il a un fils, né dans un pays lointain, il doit décider du prix à payer pour protéger un secret qui pourrait détruire le monde qu’il a créé.

Tout d’abord si ce livre a atteri chez moi, c’est à cause de sa couverture. Effectivement je l’ai pris parce que sa couverture me plaisait point barre. Ce n’est qu’en rangeant le livre à la maison que j’ai vu qu’il était du même auteur que la saga de la Voie des Ombres. J’étais ravie, car j’espèrais en mon for intérieur que cette nouvelle série était du même acabit que la première.

L'intrigue se met trèèèèèèèèèèès lentement en place. Au fil des pages, on découvre que le Prisme a un secret et pas des moindres. La relation entre le père et son fils naturel en est à ses débuts et on peut dire qu'ils sont pour le moins mouvementés.

Kip, le fiston, a perdu sa mère lors des affrontements qui sont le théâtre des premières scènes du roman. Un peu gauche, un peu gras, un peu lent bref c’est un garçon de 15 ans tout à fait normal. Ahem pas si sur, alors qu’il affronte des gens qui lui veuelent du mal, il va tomber sur son père ! Quelle coïncidence me direz-vous ! Et oui, mais il y a des moments où le hasard fait bien les choses. C’est donc avec un naturel déconcertant que Gavin va prendre son fils sous son aile et lui apprendre à se servir de la magie qui est en lui. Ah oui je ne vous ai pas dit il y a de la magie dans l’air.

On y découvre aussi quelques personnages secondaires qui, à mon avis, auront à jouer un grand role à l’avenir : Karris, l’ex fiancée de Gavin, le général Cornavis, sa fille Liv et le général Poing de Fer, le bien nommé. Il vous collerait une migraine rien qu’en vous tapotant gentiment la tête.

Ce n'est que dans le dernier quart où l'action est menée tambour battant laissant présager un deuxième tome fulgurant.
Hate d'avoir la suite.