Nuit de tempête en mer du Nord. Secoué par des vents violents, l'hélicoptère dépose Kirsten Nigaard sur la plate-forme pétrolière. L'inspectrice norvégienne enquête sur le meurtre d'une technicienne de la base off-shore.
Un homme manque à l'appel. En fouillant sa cabine, Kirsten découvre une série de photos. Quelques jours plus tard, elle est dans le bureau de Martin Servaz.
L'absent s'appelle Julian Hirtmann, le tueur retors et insaisissable que le policier poursuit depuis des années. Étrangement, sur plusieurs clichés, Martin Servaz apparaît. Suivi, épié.
Kirsten lui tend alors une autre photo. Celle d'un enfant.
Au dos, juste un prénom : GUSTAV
Pour Kirsten et Martin, c'est le début d'un voyage terrifiant. Avec, au bout de la nuit, le plus redoutable des ennemis.
Martin Servaz et Julian Hirtmann reviennent pour une ultime(?) confrontation. Bernard Minier remet ses deux héros en face à face avec cette fois-ci entre eux non pas une femme mais un enfant. Qui est-il ? D'où vient-il ? Qui sont ses parents ? Pourquoi est-il si important aux yeux d'Hirtmann ?
Tout commence par une nuit de tempête sur une plateforme pétrolière. Un meurtre vient d'être commis et il se pourrait que le meurtrier soit sur place. Mais en fouillant, les enquêteurs y trouvent une autre piste : celle de Martin Servaz.
Tel un chef d'orchestre, Julian Hirtmann compose et organise les choses sans rien laisser au hasard et joue avec Martin comme avec une marionnette.
Mais Martin n'est pas sur de vouloir continuer à jouer, c'est un homme en proie au doute et il semble prêt à vouloir changer de vie.
Est-il réellement prêt ?
Ce nouveau roman nous entraine dans l'obscurité de l'ame humaine mais que pour sauver un enfant, on est vraiment prêt à tout.
J'ai beaucoup aimé retrouvé ces personnages mais un conseil ce n'est pas un roman à lire la nuit, malgré son titre évocateur.